Chad, Décembre 28 -- Avec l’extension fulgurante vers Koundoul, la pression sur cette route a décuplé. Aujourd'hui, camions de transport, taxis collectifs et nuées de motos se disputent un espace trop étroit. Cette promiscuité forcée transforme chaque trajet en une épreuve de nerfs et de survie, ralentissant la mobilité des travailleurs et l'approvisionnement de la ville. Le bilan humain s'alourdit chaque semaine. L’absence de trottoirs oblige les piétons, souvent des élèves, à frôler les véhicules lancés à vive allure. Le manque de signalisation et l’obscurité totale dès la nuit tombée aggravent le risque de collisions frontales. Il ne s'agit plus de "confort" de conduite, mais de la protection du droit fondamental à la vie. Alors ...
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