Chad, Octobre 10 -- Le tribunal de grande instance de N'Djamena a examiné, mardi dernier, le cas d’un médecin accusé d’avoir soustrait un enfant à ses parents immédiatement après sa naissance. L’affaire, qui soulève de nombreuses questions, a été renvoyée au 16 octobre prochain pour permettre la comparution de nouveaux témoins. L’audience a été marquée par le témoignage bouleversant du père de l’enfant. Selon lui, son épouse, arrivée à terme de sa grossesse, s’est rendue à l’hôpital pour accoucher. C’est alors que le médecin lui a annoncé le décès de l’enfant, prétendument mort-né. Les parents se seraient vus remettre un corps pour l’inhumation. Une incohérence majeure a cependant attiré l’attention du juge : le certificat médical indiqua...
Click here to read full article from source
To read the full article or to get the complete feed from this publication, please
Contact Us.