Chad, Septembre 22 -- Cette situation, due principalement à la baisse de l’offre provenant du Lac Tchad, se traduit par une hausse des prix et inquiète tant les consommateurs que les vendeuses, pour qui cette activité constitue une source essentielle de revenus. Les poissons tels que le tilapia, la carpe et le synodontis schall, se font de plus en plus rares. Selon le délégué des vendeurs de poisson, l’offre hebdomadaire est passée de 1000 à 500 colliers, soit une réduction de moitié. Les principaux marchés de la capitale, tels qu’Alpharah, Chagoua et Dembe, restent les lieux incontournables pour se procurer du poisson frais. La vente de poisson est majoritairement assurée par des femmes originaires des régions riveraines des fleuves Char...