Chad, Octobre 19 --   Mbainaissem Mbaitessem Khamis, président de la confédération nationale des tradipraticiens du Tchad, affirme recevoir quotidiennement "6 ou 7 patients" souffrant de cette pathologie, soulignant l'ampleur du phénomène.

 

Des témoignages illustrent cette quête de remèdes traditionnels : Léon, trentenaire sur le point de se marier, consulte pour une faiblesse qui affecte sa relation. Il repart avec une décoction ("viagra naturel") et une poudre à diluer dans de la bouillie. Sa pathologie est si grave qu'un de ses amis confie que sa fiancée le juge "pas un homme". Charles, un enseignant, a reçu un traitement à base de sexe de bœuf cuisiné avec une décoction sans sel, se vantant désormais de "faire trois coups" alors qu...