Chad, Septembre 21 -- « La lutte contre le paludisme ne se limite pas à soigner les malades. Elle commence par l’information et la prévention », explique le Dr Mahamat Ousmane, médecin au Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP). « Lorsque les populations comprennent l’importance d’utiliser la moustiquaire et d’assainir leur cadre de vie, le nombre de cas diminue considérablement. »
Dans les quartiers périphériques de N’Djamena, des campagnes communautaires se multiplient. L’infirmière Hapsita Adam, très impliquée dans ces actions, insiste sur l’importance de l’éducation sanitaire : « Nous allons de maison en maison pour expliquer aux familles que le paludisme n’est pas une fatalité. Beaucoup pensent encore qu’il s’agi...
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