Chad, Octobre 13 -- Dans les quartiers périphériques, la scène est devenue tristement banale : un malade inconscient, soutenu par deux proches, est hissé tant bien que mal sur une moto, avant d’être conduit vers l’hôpital le plus proche. Ce trajet périlleux se fait souvent sans assistance, sur des routes dégradées et au milieu d’un trafic chaotique.
« Quand une urgence survient, on n’a pas d’autre choix. Les gens appellent un taxi-moto, même pour une femme enceinte ou un blessé grave », explique Adoum Ahmed, habitant du quartier Digo.
La visite, début octobre, du président Mahamat Idriss Déby Itno dans deux grandes structures hospitalières de la capitale a mis en lumière l’ampleur des manquements : équipements vétustes, pénurie ...
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