Chad, Août 14 -- L'effondrement du pont a donné naissance à une organisation informelle gérée par des jeunes du quartier. Ils demandent un droit de passage de 100 francs CFA aux conducteurs d’engins à deux roues pour traverser. Les véhicules à quatre roues, eux, ne peuvent pas passer.
Certains jeunes, plus ingénieux, proposent même de porter les motos à travers le mayo pour les conducteurs qui n'ont pas d'argent, en échange d'une somme négociée. Des commerçants ont également profité de l'affluence pour installer des étals de fortune à l'entrée du pont, le transformant en un véritable marché à ciel ouvert.
Le pont Gouloungou est ainsi devenu, en attendant sa réparation, un lieu d'activité intense, témoignant de la capacité d'adap...
Click here to read full article from source
To read the full article or to get the complete feed from this publication, please
Contact Us.